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La théorie de l’« échec de la Chine » dans la lutte contre la COVID-19 est vouée à un échec total
2023-01-12 19:47

Depuis trois ans, quoi que la Chine fasse dans la lutte contre la COVID-19, certains médias français n’ont jamais cessé leur stigmatisation vicieuse contre elle. Politisation malintentionnée de la question de la recherche des origines du virus, dénigrement délibéré des vaccins chinois au profit des vaccins américains et européens, attaques répétées contre la politique « zéro COVID dynamique »...la liste n’est que trop longue. 


Ces derniers temps, certains médias français égratignent encore la situation épidémique en Chine suite à l’optimisation des mesures de gestion sanitaire, impatients d’annoncer « l’échec de la Chine » face à l’épidémie. Un certain média est allé jusqu’à nier en bloc les résultats obtenus par la Chine dans la lutte contre la COVID-19 en la qualifiant de « tragédie qui se joue en trois actes » - « la victoire en 2020, le doute en 2021 et l’échec en 2022 ». Etalons donc les faits pour voir si la lutte contre la COVID-19 en Chine au cours des trois dernières années est une « tragédie » ou une « épopée ». 


En 2020, face à l’éclatement soudain de la pandémie du siècle, la Chine l’a affrontée en bravant toutes les adversités. En tant que premier pays à avoir signalé l’épidémie (il convient de noter qu’un grand nombre de cas auraient déjà apparu au cours de l’été et de l’automne 2019 aux États-Unis et dans certains pays européens, mais qui n’avaient pas été rapportés), la Chine, malgré une énorme pression, a réussi à passer cet « examen à livre fermé ». Une gifle pour ceux qui escomptaient un « moment Tchernobyl » pour la Chine. Non seulement la Chine a remporté la bataille contre la COVID-19 à Wuhan, endiguant ainsi la propagation du virus, mais aussi réussi à réduire le nombre de nouveaux cas locaux à zéro sur toute la partie continentale de la Chine le 18 mars 2020. Les efforts de la Chine ont fait gagner un temps précieux au reste du monde, et lui ont fourni des expériences de première main en matière de prévention et de contrôle sanitaire, ainsi que de grandes quantités de matériel antiépidémique. 


Cependant, les États-Unis et certains autres pays, faisant fi du bon sens scientifique, ont intentionnellement politisé, instrumentalisé et weaponisé l’épidémie pour se défausser de leur responsabilité, entraînant une propagation à grande échelle du virus et un grand nombre de décès. Le temps gagné grâce aux efforts de la Chine a été hélas gaspillé, et la lutte mondiale contre l’épidémie, plongée dans un abîme sans fond. Si tous les pays, en particulier les pays occidentaux disposant d’abondantes ressources médicales, s’étaient montrés aussi sérieux que la Chine dans la lutte contre la COVID-19, en accordant la priorité au peuple et à la vie humaine, la pandémie aurait pu être éradiquée en 2020, au lieu de s’éterniser et de donner lieu à toutes sortes de variants, faisant souffrir l’humanité entière jusqu’à aujourd’hui. 


En 2021, face aux vagues multipliées de la COVID-19 dans le monde, la Chine a gardé sa ligne de défense avec détermination. En poursuivant la politique « zéro COVID dynamique », la Chine a refoulé énième assaut des variants Alpha, Beta et Delta, protégé au maximum la vie et la santé du peuple, minimisé l’impact négatif de l’épidémie sur l’économie et la vie quotidienne, et joué un rôle central dans la stabilisation des chaînes industrielle et d’approvisionnement mondiales. En revanche, certains pays comme les États-Unis ont vite fait le choix de « s’allonger à plat » et de laisser le virus se propager sauvagement, ce qui a causé de graves « séquelles » dans la santé publique, l’économie et la société. Selon les données de l’OMS, en 2021, le monde a enregistré environ 3,5 millions de décès dus à la COVID-19, dont environ 420 000 aux États-Unis, contre seulement 2 décès sur la partie continentale de la Chine. Depuis le 10 janvier 2020, aucun nouveau cas n’a été signalé sur la partie continentale de la Chine pendant 250 jours, alors que pendant la même période, chaque seconde, 7 personnes ont contracté COVID-19 à l’échelle mondiale. 


Sous la protection de la politique « zéro COVID dynamique », les Chinois n’ont pas souffert beaucoup de l’épidémie. Pendant la majeure partie des trois dernières années, ils ont pu sortir librement pour travailler ou se divertir. Durant la semaine de vacances du Nouvel An chinois du 11 au 17 février 2021, 160 millions d’entrées dans les salles de cinéma ont été enregistrées en Chine, dépassant les 150 millions d’entrées en France durant toute l’année 2022. L’économie chinoise a connu une croissance de 8,1 % en 2021, un chiffre beaucoup plus élevé que dans les économies occidentales développées, ce qui prouve que l’approche « zéro COVID dynamique » était l’option la moins coûteuse. C’est aussi grâce à la politique « zéro COVID dynamique » que la Chine a bénéficié d’une précieuse fenêtre de tir, pendant laquelle la létalité des variants a diminué, des médicaments efficaces ont été développés et commercialisés et la majorité de la population chinoise a été vaccinée. Cela a non seulement permis de protéger 1,4 milliard de Chinois du risque d’être infectés par des variants plus dangereux, mais aussi de créer les conditions et les ressources nécessaires pour faire face à des variants plus contagieux.


En 2022, face aux nouvelles caractéristiques des mutations du virus, la Chine a pris l’initiative de briser l’encerclement. Le variant Omicron circule beaucoup plus rapidement, tout en devenant nettement moins virulent, évoluant vers une maladie infectieuse respiratoire courante. Étant donné que la période la plus difficile est passée et que la COVID-19 ne constitue plus une menace grave pour la santé publique, la Chine a optimisé et ajusté sa gestion sanitaire, mettant en place successivement les « Vingt Mesures », les « Dix Nouvelles Mesures » et le Plan général sur la gestion de la COVID-19 comme une maladie infectieuse de classe B. Dans le même temps, la Chine continue de renforcer les services médicaux et l’assurance sociale. Il s’agit d’une approche proactive fondée sur la science et la pratique, qui ne consiste en aucune manière à « s’allonger à plat », et encore moins à « capituler ». 


Le pic épidémique est rapidement passé à Beijing, à Shanghai, au Guangdong, au Sichuan et dans d’autres provinces chinoises. L’évolution de la situation épidémique est conforme aux prévisions et sous contrôle. La reprise des activités économiques et de la consommation s’accélère à l’échelle nationale. Selon les anticipations du Ministère chinois des Transports et des Communications, durant les 40 jours de grand chassé-croisé à l’occasion de la Fête du Printemps 2023, 2,095 milliards de voyages de passagers seront enregistrés dans le pays, en hausse de 99,5% en glissement annuel, ce qui correspond à 70% du chiffre de 2019. Certains sites touristiques ont déjà connu un afflux explosif. Difficile de trouver une chambre d’hôtel disponible dans des villes touristiques comme Sanya. Le peuple chinois sort de l’épidémie à pas sûrs. Une reprise économique plus robuste est en vue.


Il va sans dire que la Chine a choisi dès le début une voie différente de celle des pays occidentaux dans le combat contre la COVID-19. Il s’agit de donner la priorité absolue à la santé de la population, tout en assumant pleinement la responsabilité dans la lutte mondiale contre l’épidémie. C’est déterminé par la nature et l’objectif du Parti communiste chinois, les réalités de la Chine et les valeurs de la culture chinoise. Les faits ont prouvé que la politique chinoise de lutte contre la COVID-19 et ses résultats ont été reconnus par le peuple chinois et ont résisté à l’épreuve de l’Histoire. La véritable histoire de la lutte chinoise contre la COVID-19 n’est point une « tragédie », mais bien une « épopée » marquée par un courage extraordinaire de surmonter les difficultés et d’aller vers la victoire !


Le contraste entre les résultats obtenus par la Chine dans la lutte contre la COVID-19 au cours des trois dernières années et le chaos et les échecs constatés en Occident a suscité de la frustration chez certains médias français. Plutôt que de faire de l’introspection, ils ont sombré dans l’hystérie de falsification de récit et de stigmatisation de la Chine. Ils ne se soucient pas du bien-être du peuple chinois, mais nourrissent des arrière-pensées peu avouables : souhaiter l’échec de la Chine, se servir de l’épidémie pour la « diaboliser », torpiller son unité interne et entraver son développement. Réprimander les autres ne rend pas soi-même meilleur, et ceux qui mentent se font tromper eux-même. Ces médias français feraient mieux de se concentrer sur la situation de leur propre pays, au lieu de faire grand tapage autour du soi-disant « échec de la Chine » dans la lutte contre la COVID-19.


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